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Le bien vivre ensemble

Les kermesses

Pour animer la vie scolaire, nous animions des séances de danses folkloriques de Bretagne (Le bal de jugon), de Champagne…pendant l’interclasse de midi.
A cet effet, Lise et quelques autres collègues avaient effectué des stages CEMEA.
Quelques anciens élèves nous rappellent avec plaisir ces séances où garçons (mais oui) et filles dansaient avec entrain.
Je ne sais pas si ce serait encore possible ? Pour alimenter la coopérative scolaire, nous organisions une kermesse de fin d’année où élèves, parents et profs tenaient des stands, la loterie, la buvette…

Les élèves présentaient quelques numéros de gymnastique, d’acrobaties, d’athlétisme, jouaient quelques sketches classiques ou non, chantaient, jouaient d’un instrument de musique.
Les parents prêtaient main forte pour monter les stands, réaliser les décors…
Les élèves des classes de 4ème et 3ème Pratiques, de 6ème et 5ème de Transition étaient heureux de montrer à leurs camarades qu’il avaient aussi du talent pour faire des pâtisseries, décorer, réaliser des objets en bois, en cuir, en fer dans les ateliers.
En enseignement ménager (couture,), ils réalisaient des costumes
Les parents apportaient du champagne, tenaient les stands… Tout le monde participait à la fête.
Ce qui créait de la solidarité.
Nous avons eu la chance d’avoir toujours des collègues et des parents qui participaient volontiers au bénévolat dans la bonne humeur.
Serait-ce encore possible ?

Théatre,conférences et bals au collège


A la salle des fêtes de Congy, nous avons présenté des pièces de théâtre (Knock… avec réalisation de décors de qualité), spectacles de variétés.

Chaque année, nous organisions le « bal du collège » après avoir arrangé la salle, installé un comptoir, dressé des tables juponnées, des vases avec fleurs, des bougeoirs, des bouteilles de champagne dans des seaux à glace.
Nous faisions appel à un orchestre.

La chanson à la mode d’Adamo « aujourd’hui, c’est le bal des gens bien » était de rigueur.
Certains garçons de 3ème, mis sur leur 31, osaient parfois inviter à danser leurs professeures !
Les recettes enrichissaient la coopérative et permettaient d’une année sur l’autre à améliorer nos prestations.
Les gendarmes d’Etoges (souvent parents d’élèves) étaient là pour assurer la sécurité.
Leur chef était alors également Président des parents d’élèves.
Le Dimanche matin, de nombreux parents venaient nous aider à nettoyer la salle.